Lexique du bâtiment

Afin de décoder nos devis, Franc Façades vous propose son lexique du bâtiment.

A   B   C   D   E   F   G   H   I   J   K   L   M   N   O   P   Q   R   S   T   U   V   W   X   Y   Z

Qualifie ou désigne un matériau dont la dureté et la rugosité peuvent provoquer une abrasion (papier de verre par ex.).

Arbre des zones tropicales fournissant une huile incolore très siccative utilisée dans la fabrication des mastics à bois et de certains vernis gras.

Propriété chimique d’un corps caractérisée par un potentiel hydrogène (pH) inférieur a 7.

Alliage de fer et de carbonne. Cet acier, fréquemment utilisé dans le domaine de la construction, est étiré pour former des poutrelles, des profilés, des barres, des tôles ou des fils de fer. Localisation : portes, volets, menuiseries, grilles, rambardes, clôtures, charpentes, huisseries métalliques.

Socle situé au-dessus de la corniche d’un fronton. Élément d’une façade situé au-dessus du niveau de la toiture ou de la terrasse et constituant des rebords ou garde-corps.

Qualifie un type de résine obtenue par polymérisation, entrant dans la composition de nombreux matériaux : peintures, vernis, colles, revêtements de sols, etc.

Phénomène qui permet, grâce a la présence d’un activant de prise (produit basique : chaux, soude par ex.), la dissolution puis la prise et le durcissement des phases vitreuses des laitiers, des cendres volantes ou des pouzzolanes.

Constituant secondaire d’un matériau ou produit incorporé en faible dose dans un matériau pour modifier l’une de ses propriétés.

Agence De l’Environnement et de la Maîtrise de l’Énergie – Pouvoirs publics – et – Organismes parapublics -.

Produit que l’on incorpore en faible proportion dans les bétons et mortiers pour modifier, améliorer ou compléter certaines de leurs caractéristiques.

Caractérise l’isolement acoustique d’une paroi de construction.

Association Française de NORmalisation Centres scientifiques, Centres techniques, Organismes certificateurs.

Association Française des Organismes de CERTification de produits de la construction Centres scientifiques, Centres techniques, Organismes certificateurs.

Association des Industries de Produits de Construction Organismes professionnels.

partie du mur extérieur située sous une fenêtre.

Agence Nationale pour l’Amélioration de l’Habitat Pouvoirs publics et Organismes parapublics.

Produit contribuant à réduire l’adhérence des matériaux, évite que les chewing-gums ne restent collés aux supports.

Traitement préventif évitant la pénétration des pigments d’encre ou des peintures.

Se dit de produits qui en réduisant la tension superficielle des supports traités, fibres ou des matériaux, facilitent l’enlèvement des taches. Les anti-taches sont des substances hydro-oléofuges.

Le magazine technique des professionnels du bâtiment.

Agence Qualité Construction Pouvoirs publics et Organismes parapublics.

équipement de régulation réduit à un simple thermostat placé sur un circuit d’eau de chauffage ou de chaudière ; il fonctionne en donnant un ordre de marche ou d’arrêt à un actionneur comme une vanne, un brûleur,…

Qualifie ce qui correspond aux règles de l’architecture. Par extension, se dit des éléments qui mettent en valeur les qualités architecturales d’une construction.

Avis Technique.

Application Technique d’Expérimentation.

Dalle en saillie formant porte-à-faux par rapport à la façade, située en partie inférieure de bâtiment.

Saillie, ressaut ou désaffleurement sur le parement des bétons, des pierres ou du bois.

Coffrage formant le moule provisoire dans lequel on coule le béton.

Disposer des panneaux de coffrage pour y couler du béton.

Mortier Fluide.

Revêtement d’un mur extérieur réalisé avec des bardeaux ou avec tout autre matériau de couverture. Plus largement, le terme s’applique à tout revêtement de façade mis en place sur une ossature liée au support par fixation mécanique, avec une lame d’air et/ou un isolant thermique intermédiaire.

Panneaux qui ont une armature (feutre de fibres, voile de verre) imprégnée et surfacée de bitume, et couverte de fins granulats naturels ou teintés.

Propriété chimique d’un corps caractérisée par un potentiel hydrogène (pH) supérieur a 7.

Bâtiment Basse Consommation – niveau de label défini au 2° de l’article 2 de l’arrêté ministériel du 29 septembre 2009 relatif au contenu et aux conditions d’attribution du label haute performance énergétique rénovation. Ce label fixe un seuil bas de consommation énergétique s’approchant des exigences de performance des constructions neuves puisqu’en logement, la consommation énergétique conventionnelle annuelle en énergie primaire concernant 5 postes (chauffage, refroidissement, eau chaude sanitaire, éclairage et auxiliaires) doit respecter une consommation maximale de 80 kWh_EP/m²_SHON-RT/an. Cette valeur de seuil peut cependant être amenée à varier en fonction de la zone climatique et de l’altitude du terrain tels que définis dans l’arrêté du 29 septembre 2009.

Bordereau de suivi de déchets industriels.

Béton moulé en pièces massives par préfabrication, sous forme d’éléments de façade modulaires finis.

Produit de traitement ou adjuvant servant à détruire les micro-organismes (acariens, bactéries…).

Colmate la porosité superficielles et empêche la pénétration des agents tachants.

(Calfeutrement en ) Garnissage intégral des joints avec un mortier.

Le parement est passé à la brosse dure non métallique.

Présence de petites cavités (trous) ou bulles d’air.

C

Représentation du détail des joints d’une façade, du découpage en panneaux d’un enduit de parement ou de motifs associant plusieurs couleurs.

Confédération des Artisans et Petites Entreprises du Bâtiment Organismes professionnels.

Dalle en saillie formant porte-à-faux par rapport à la façade, située en partie supérieure de bâtiment.

Centre d’Étude et de Recherches de l’Industrie du Béton Centres scientifiques, Centres techniques, Organismes certificateurs.

Impression, sensation de confort. Etat de la matière caractérisé par l’agitation interne des particules constituantes.

Abattre une arête pour former une face étroite intermédiaire entre les deux pans adjacents de l’arête.

Couche de mortier d’épaisseur limitée (15 à 50 mm) reposant sur un support ayant une fonction mécanique (dalle, dallage, etc.), destinée à obtenir une bonne planéité au niveau altimétrie voulu, et recevant généralement un revêtement (carrelage par ex.).

Désigne parfois l’évasement de l’extrémité supérieure d’un poteau sous une poutre. Dans une poutre ou une dalle en béton armé, désignation familière du lit supérieur d’armatures au droit d’un appui. Pièce porteuse horizontale couronnant un chevalement d’étais.

Couronnement d’un mur permettant l’écoulement des eaux.

Action d’appliquer un badigeon de chaux.

Chambre des Ingénieurs Conseils de France Organismes professionnels.

Association des SSII du secteur BTP Organismes professionnels.

Dosse de bois ou planche utilisée en bardage, chaque clin recouvrant le clin inférieur pour assurer l’étanchéité à la pluie. On utilise aussi de plus en plus d’autres matériaux comme l’aluminium ou le PVC pour réaliser les clins.

Coefficient volumique de déperditions thermiques maximal imposé par la réglementation. (Décret n° 82-269 du 24 mars 1982).

Coefficient d’échanges superficiels par convection et rayonnement (W/m2 °C).
Est admis conventionnellement par les règles D.T.U. ThK.77.

Moule provisoire préparé pour couler le béton d’un ouvrage, qui est retiré après sa prise et son durcissement.

Transformation de la vapeur d’eau en gouttes d’eau (brouillard, rosée).

Impression subjective de bien-être.

Il peut être utilisé par tout employeur d’une entreprise employant jusqu’à 20 salariés. La période de consolidation dans l’emploi sera de deux ans (habituellement, pour un CDI, la période d’essai est d’une durée d’une semaine à six mois). Pendant ces deux ans, le contrat pourra être interrompu à la demande de l’employeur ou du salarié par lettre recommandée avec accusé de réception. La mise en place de ce contrat est prévue pour le 4 août 2005. A l’issue de la période de deux ans, les règles communes aux contrats à durée indéterminée s’appliqueront.

Mouvement pris par un fluide sous l’influence d’une variation de température. Moyen de transmission de l’énergie thermique par l’intermédiaire d’un fluide caloporteur (gaz, liquide …).

Association des bureaux de contrôle Organismes professionnels.

Cadre de planches de bois ou coffre, sur lequel est établi un châssis de fenêtre de toit au-dessus du niveau de la couverture.

Partie d’un plancher intermédiaire en saillie ou en retrait par rapport à la façade, servant à la desserte de plusieurs locaux, limitée vers l’extérieur par un ouvrage vertical formant garde-corps.

Champignons, moisissures, mousses et lichens.

Centre Scientifique et Technique du Bâtiment Centres scientifiques, Centres techniques, Organismes certificateurs.

Certificat d’Economie d’Energie – dispositif qui oblige les fournisseurs d’énergie (électricité, gaz, chaleur, froid, fioul domestique et carburants) à réaliser des économies d’énergie auprès de leurs clients. S’ils ne respectent pas leurs obligations, l’Etat leur a prévu de fortes pénalités financières. Ils proposent donc des prêts bonifiés ou des primes pour des travaux de rénovation énergétique. En contrepartie des aides octroyées, ils obtiennent des certificats leur permettant d’attester auprès de l’État leur rôle incitatif auprès d’un maître d’ouvrage. Dans un certificat remonté par un obligé, un montant en kilowattheure CUMAC pour l’action entreprise est alors calculé afin de venir en déduction de son quota à réaliser.

dioxyde de carbone, gaz présent notamment dans les émissions survenant à la suite de la combustion des énergies fossiles (pétrole, gaz et charbon)

Petit canal d’évacuation en décaisse dans un radier, un dallage, une chape. (exemple : dans l’alignement parallèle à une rive de balcon avec talon) Syn. Rigole, Caniveau.

D

Organe porteur d’un plancher généralement d’un seul tenant à la différence des supports composites avec poutrelles ou solives.

Produit chimique destiné au nettoyage de façades d’immeubles, de sols, de bois, de métaux…

Unité de mesure des niveaux de bruits dans une habitation. Exemples : 40 dB espace calme, 80 dB rue à grande circulation, 130 dB seuil de la douleur.

Temps que met l’onde de chaleur à traverser une paroi depuis sa face extérieure jusqu’à l’intérieur.

Décaper une surface métallique, une pièce de bois.

Décalage de niveaux entre deux parties d’un ouvrage, entre deux pièces de bois assemblées, entre deux lames de parquet.

Degrés-Jours Unifiés – valeurs localement déterminées en faisant chaque jour la différence entre la température de référence, 18 °C, et la moyenne de la température minimale et la température maximale de ce jour. C’est par conséquent une estimation de la différence entre la température intérieure de référence (hors apports naturels et domestiques) et la température extérieure médiane de la journée. Cette donnée est utile pour l’estimation des consommations d’énergies de chauffage d’un bâtiment. Généralement, les DJU sont pris sur la période de chauffe de 232 jours allant du 1^er octobre au 20 mai. Pour un hiver de rigueur moyenne le nombre de DJU se situe entre 2000 et 3000 pour l’essentiel du territoire métropolitain.

Dossier d’Intervention Ultérieur sur les Ouvrages.

Dossier des Ouvrages Exécutés.

Tranche externe du débit d’une bille de bois.

Documents Techniques Unifiés.

E

Eco-Prêt à Taux Zéro – prêt sans intérêt qui permet aux ménages de financer le reste à charge d’une ou de plusieurs prestations de travaux de rénovation énergétique portant sur une résidence principale lorsqu’ils l’occupent.

Il s’agit d’un traitement délicat qui consiste en général à attaquer les arrêtes d’un béton cannelé.

Impression subjective d’un être humain qui ressent devant une paroi une impression de froid, non expliquée par le thermomètre. Inconfort physiologique.

Enduit Mince sur Isolant.

Mouvement interne d’une particule résultant d’une action mécanique (agitation, frottement).

Energie brute, c’est-à-dire non transformée après extraction (liste : énergies fossiles comme le pétrole brut, le gaz naturel ou bien encore le charbon, mais aussi la géothermie, l’énergie solaire, l’énergie éolienne, l’énergie nucléaire et la biomasse).

Éclat dans un parement ou dans une arête.

Efficacité énergétique saisonnière – rapport entre l’énergie de référence du profil de soutirage déclaré et l’énergie requise pour la produire.

Règles professionnelles pour l’entretien et la rénovation de systèmes d’isolation thermique par l’extérieure ” Etics “. Application obligatoire depuis janvier 2005.

Désigne l’apparition de résines à la surface d’un bois résineux fraîchement coupé.

F

Le fer est le métal le plus utilisé, soit sous forme de profilés, soit sous forme de tôles d’épaisseurs différentes. Localisation : huisseries, menuiseries, portes, portails, clôtures, garde-corps, grilles, radiateurs, tuyauteries.

Relissage d’un enduit, sans produit, afin d’obtenir une surface ferme et polie.

Fédération Française du Bâtiment.

Qualifie un produit utilisable en couches très minces ou un matériau qui se présente sous forme de film. Par exemple : une protection de matériaux par l’application d’une couche de protection formant un film facile à enlever. On parle également de protection “sacrificielle”. Forme une pellicule anti-graffitis de surface qui s’oppose à la migration des colorants.

Lente déformation irréversible d’un corps sous l’effet d’une force extérieure ou sous son propre poids.

Fédération Nationale des Promoteurs Constructeurs Organismes professionnels.

Produit qui détruit ou empêche le développement des mousses, lichens, moisissures.

Alliage de fer et de carbonne. La fonte à une remarquable résistance à la corrosion et un coefficient de dilatation thermique très bas. On l’utilise pour fabriquer des canalisations de fort diamètre, des éléments de radiateur et de chaudière, et des appareils sanitaires. Localisation : radiateurs, garde-corps, descentes d’eaux.

G

Recouvrir une pièce métallique d’une couche protectrice de zinc.

Gaz à effet de serre – composant gazeux présent en très faible quantité dans l’atmosphère terrestre mais qui du fait de l’augmentation de sa concentration, du fait des activités humaines notamment, est soupçonné aujourd’hui comme étant un facteur à l’origine de récentes perturbations climatiques.

Mince couche de mortier, irrégulière et rugueuse, appliquée en couche préparatoire d’accrochage d’un enduit.

Gaz de Pétrole Liquéfié (butane ou propane)

Groupement des professionnels de la peinture et de la finition de Paris et de sa région. (http://www.gppf.fr)

Se dit d’une surface dont les grains sont visibles ou perceptibles au toucher.

C’est un meulage de dégrossissage qui laisse apparaître plus ou moins l’ensemble des composantes du béton et donne une surface rugueuse. Le béton grésé reçoit un seul passage à la meule avant un bouchonnage léger.

Coefficient de déperdition thermique (en W/°C). GV = G x volume.

H

Intervalle entre 2 poutrelles ou 2 solives.

Technique de nettoyage qui consiste à pulvériser à pression réglable une solution d’eau additionnée de fines particules décapantes. L’hydro-gommage est souvent préféré au nettoyage chimique pour des grandes surfaces.

Traitement d’imperméabilisation. Protection d’un ouvrage contre la pénétration de l’eau par application superficielle ou par incorporation d’un produit hydrofuge.

Produit empêchant la pénétration de l’eau.

Se dit d’un produit de protection qui, à la fois, imperméabilise et protège contre les salissures grasses. L’hydro-oléofuge doit laisser respirer le support traité.

Se dit d’un corps chimique ou d’un matériau qui n’a aucune affinité avec l’eau ou, dont la surface repousse l’eau par un phénomène de capillarité : paraffine, silicones. Qui n’attire pas l’eau et évite la formation d’une pellicule d’eau en surface.

Étude et mesure du degré d’humidité de l’air.

I

État des corps qui dégagent de la chaleur et de la lumière en brûlant.

Voir hydrofuge

Qualifie un matériau ou une matière qui ne peut pourrir (se putréfier) par l’action de l’eau.

La capacité d’un bâtiment de maintenir stable sa température intérieure malgré les variations des températures extérieures ou de l‘ensoleillement. On peut distinguer 2 types d’inertie de nature différente : l’inertie de transmission qui agit en résistant à la transmission de la température et de la chaleur, et l’inertie par absorption qui réduit les variations de température en absorbant et stockant les flux de chaleur internes.

Isolant procurant les conforts thermiques et réduisant tous les transferts d’énergie et particulièrement le rayonnement.

Isolation Thermique par l’Extérieur

Isolation Thermique par l’Intérieur

J

K

Coefficient de transmission surfacique (W/m2.°C). Plus le K est faible, plus la paroi est isolante. K ne prend pas en compte les échanges superficiels réels par rayonnement et convection.

L

Conductivité thermique d’un matériau (W/m. °C). Plus le lambda est faible, plus le matériau est isolant au transfert par conduction.

Jet d’eau à très faible pression permettant par exemple l’enlèvement de la laitance superficielle d’un béton frais mettant ainsi en valeur le granulat, généralement roulé sans en altérer sa couleur.

Matière qui a pour propriété de passer de l’état liquide ou plastique à l’état solide pour lier, c’est-à-dire, pour assembler par collage des matériaux comme le sable, les cailloux, le bois,… Les liants hydrauliques peuvent durcir sous l’eau. On les utilise pour les travaux courants de briquetage, d’enduit, de fabrication de dalles de ciment et de béton. Exemples de liants : Ciment, chaux, mortier prêt à gâcher.

Un logement est dit traversant si, pour chaque orientation (verticale nord, verticale est, verticale sud, verticale ouest, horizontale), la surface des baies est inférieure à 75 % de la surface totale des baies du logement.

Association Le Net Du Bâtiment Organismes professionnels.

M

Collage d’une toile forte (en jute ou filasse) sur une surface.

Presser une toile dans une couche d’enduit ou de colle pour l’y noyer complètement.

FER : Le fer est le métal le plus utilisé, soit sous forme de profilés, soit sous forme de tôles d’épaisseurs différentes. Localisation : huisseries, menuiseries, portes, portails, clôtures, garde-corps, grilles, radiateurs, tuyauteries.
ACIER DOUX : Alliage de fer et de carbonne. Cet acier, fréquemment utilisé dans le domaine de la construction, est étiré pour former des poutrelles, des profilés, des barres, des tôles ou des fils de fer. Localisation : portes, volets, menuiseries, grilles, rambardes, clôtures, charpentes, huisseries métalliques.
FONTE : Alliage de fer et de carbonne. La fonte à une remarquable résistance à la corrosion et un coefficient de dilatation thermique très bas. On l’utilise pour fabriquer des canalisations de fort diamètre, des éléments de radiateur et de chaudière, et des appareils sanitaires. Localisation : radiateurs, garde-corps, descentes d’eaux.

ACIER GALVANISE, ALUMINIUM, ZINC, CUIVRE, PLOMB

Se dit d’un corps chimique qui peut se mélanger de manière homogène avec un autre corps.

Proportions et disposition des moulures et membres d’architecture caractérisant une façade. L’étude des modénatures permet souvent de différencier les styles et de dater la construction des bâtiments.

Concept de construction associant au mur extérieur un manteau de protection thermique et hygrométrique.

N

Voir décapant

O

Protection empêchant la pénétration des substances grasses (salissures).

Modifie la tension superficielle du matériau rendant impossible la pénétration des agents tachants.

Organisme Professionnel de Prévention du Bâtiment et des Travaux Publics Pouvoirs publics et Organismes parapublics.

P

Produit présenté en solution dans l’eau. Les produits en phase aqueuse présentent de nombreux avantages : ils sont sans dangers, plus écologiques et surtout beaucoup plus simples et pratiques à utiliser.

Produit présenté en solution dans un solvant chimique.

Terme général désignant tout franchissement d’un plan horizontal établissant un étage et pas forcément constitué de planches.

Température à laquelle la vapeur d’eau devient liquide.

Il repose sur l’utilisation, après dégrossissage, de meules à grains de plus en plus fins qui, en éliminant les traces laissées par les précédentes, soulignent la texture du béton dans la masse et donnent un parement uni.

Partie d’une construction présentant un défaut d’isolation et provoquant à cet endroit une perte de chaleur.

Recouvrement de deux lèvres d’une fissure ou d’un joint par un ouvrage armé (calicot, toile de verre), dont les possibilités de déformation et d’extension de part et d’autre de la fissure permettent de répartir les effets d’éventuelles tensions ultérieures, évitant ainsi une nouvelle rupture en surface.

Rapport du volume des vides d’un matériau au volume total. La porosité naturelle des matériaux est l’une des principales causes de dégradation. Tous les matériaux poreux du bâtiment, à l’extérieur comme à l’intérieur, peuvent être efficacement protégés. Des matériaux faiblement poreux comme le marbre ou le granit sont protégés avec la même efficacité que des matériaux fortement poreux tels des pierres calcaires, des bétons ou des pierres reconstituées.

Q

Organisme professionnel de qualification et de certification du bâtiment.

R

Résistance thermique d’un matériau.

Résistance thermique additionnelle apportée par une fermeture au droit d’une menuiserie en m².K/W

C’est le fait d’enduire une maçonnerie d’un mortier fin pour boucher les trous et niveler les défauts de surface afin d’obtenir une surface plane et unie pour pouvoir y appliquer une peinture ou un enduit plastique.

Nivellement d’une surface horizontale par une couche plus ou moins épaisse de matériau, déversé à sec ou lié.

Mode de propagation de l’énergie sans support matériel, au moyen d’ondes électromagnétiques infrarouges, qui traversent un milieu qui lui est transparent sans en affecter la température. La chaleur se manifeste lorsque ces rayons sont absorbés par un matériau non réflecteur.

Réaliser la jonction nette, sans bavures, entre deux ouvrages de peinture contigus de coloris ou de tonalités distincts.

(Mur de) Mur porteur situé à l’intérieur de bâtiment, en général perpendiculaire à ses façades, ou parfois parallèle à celles-ci.

Changement de direction des ondes lumineuses, calorifiques ou sonores qui tombent sur une surface réfléchissante

– Arrêté du 31 Janvier 1986 illustré Titre I (complet) Titre II (chapitre 1er, section 4).
– ERP et IGH ( Règles C + D et réaction au feu) livres 1 et 2 articles C0 19 à C0 22.
– Circulaire du 3 juillet 1991 modifiant l’instruction technique n°249 relative aux façades, jointe à la circulaire du 21 juin 1989.

E.M.I. : Enduits Minces sur Isolants V.V.B. : Vêtures, Vêtages, Bardages – Textes généraux : – DTU 20.1 Annexe : Guide pour le choix des types de murs de façade en fonction du site. – NF-P 08.301 : Essais de résistance aux chocs – Corps de chocs. – NF-P 08.302 : Murs extérieurs des bâtiments – Résistance aux chocs- Méthodes d’essais et critères. – DTU P 06.002 : Règles N.V. 65 – Détermination sur chantier de la charge maximale admissible applicable à une fixation mécanique de bardage rapporté : Cahier CSTB 1661. – Classement reVETIR : Systèmes d’Isolation Thermique des façades par l’Extérieur. – NRT : Nouvelle réglementation thermique des bâtiments. Juin 2001 – Textes particuliers : Avis techniques des différents systèmes. Systèmes d’Isolation Thermique Extérieure avec enduit mince sur Polystyrène expansé – Cahier des prescriptions techniques d’emploi et de mise en œuvre. Cahier CSTB 3035 Avril 1998. Règles générales de conception et de mise en œuvre de l’ossature bois et de l’isolation thermique des bardages rapportés faisant l’objet d’avis technique Cahier CSTB 3316 Janvier Février 2001. Ossature métallique et isolation thermique des bardages rapportés faisant l’objet d’un avis technique ou d’un constat de traditionalité – Conditions générales de conception et de mise en œuvre. Cahier CSTB 3194 Janvier- Février 2000. Modalités des essais de chocs de performance sur les bardages rapportés, vêtures et vêtages. Cahier CSTB 3163 Octobre1999. Entretien et réhabilitation des systèmes d’isolation par l’extérieur avec enduit mince sur isolant. Cahiers CSTB 2044 et 2468.

– Les normes et DTU NF-T 30.003 : Classification Peinture. NF-T 30.005 : Classification peinture. FD-T 30.808 : Guide produit et peinture façade. NF-P 74.201 : Travaux de peinture (ou DTU 59.1) NF-P 74.202 : Revêtements Plastiques Epais (ou DTU 59.2). NF-P 84.404 : Revêtements d’imperméabilisation. (ou DTU 42.1). NF-P 84.405 : Commentaires à la 84.404. DTU 59.3 : Peintures de sols. – Règles professionnelles : Règles professionnelles Joints et Mastics. Règles professionnelles S.E.L. (Systèmes d’Etanchéité Liquide). Règles professionnelles Façade Plâtre Parisien.

Qui persiste, qui subsiste après disparition de la cause initiale.

Décrochement, élément qui dépasse nettement de l’alignement d’une façade.

Se dit d’une résine thermodurcissable. Mode de durcissement irréversible de ces résines.

Robinet qui abrite une sonde thermosensible se dilatant et se contractant en fonction de la température ambiante et actionnant alors un système mécanique qui laisse passer plus ou moins de fluide dans l’émetteur associé afin de prendre en compte les apports gratuits internes ou externes qui justifient que le chauffage puisse se réduire ; il est alors possible de régler la température de chaque pièce, en choisissant une position sur la bague de réglage par rotation du bouton de la tête, comme pour un robinet classique.

Revêtements Plastiques Épais.

Revêtements Semi-Épais.

S

Consiste à attaquer un parement (par exemple un béton durci) avec un jet de sable projeté à l’air comprimé. L’opération dégarnie plus ou moins les granulats qui, selon leur dureté, seront plus ou moins arrondis, les plus sombre étant éclaircis par ce traitement.

Partie d’un édifice qui avance par rapport à une autre dans le plan vertical. Exemples de saillies : Balcons, corniches, contreforts.

Se dit d’un marbre à texture grenée.

Coefficient de performance saisonnier d’une pompe à chaleur – calculé ou mesuré sur une saison de chauffe ; il est défini comme le ratio de la production thermique annuelle de la pompe à chaleur et de l’appoint sur la consommation électrique annuelle de la pompe à chaleur et de l’appoint.

Syndicat Français des Joints et Façades Organismes professionnels.

Nom anglais du bardeau bitumé ou du bardeau d’asphalte.

Syndicat National des Joints de Façades.

Syndicat National des Mortiers Industriels Organismes professionnels.

Ouvrage longiforme de garnissage ou de calfeutrement, en mortier ou en plâtre.

Substance capable de dissoudre un corps et qui sert généralement de diluant ou de dégraissant.

Synonyme de “support” ou de “fond”, en particulier lorsqu’il est destiné à recevoir une peinture, un vernis ou un revêtement mince.

Support sous forme de poudre fine ou impalpable.

Facteur solaire d’une menuiserie – proportion de l’énergie solaire qui entre à l’intérieur d’un bâtiment par une menuiserie comparée avec l’énergie solaire parvenue à l’extérieur de cette menuiserie.

Ingénierie Organismes professionnels.

T

Planchette de bois munie d’un manche, utilisée pour porter et appliquer les enduits et le plâtre sur les murs et les plafonds.

Tringle de bois de forme trapézoïdale qui sert de cale ou délimite les travées d’une couverture en feuilles métalliques et porte les couvre-joints.

Température pour laquelle le métabolisme de l’homme est inactif (confort physiologique). Elle est définie comme la moyenne de la température de l’air et de la température des parois environnantes (rayonnement).

Température la plus basse relevée sur une période de 30 ans dans chaque département pendant au moins 5 jours dans l’année. Ces températures très basses sont bien souvent atteintes au cours de la nuit. C’est la norme française NF EN 12831 qui définit le tableau des températures extérieures de base selon différents paramètres : proximité de la mer, altitude, climat,…

Grandeur égale au rapport de l’énergie nécessaire pour augmenter la surface libre d’un liquide à l’augmentation de l’aire de cette surface. Les hydrofuges agissent en modifiant la tension superficielle des substrats traités.

Equipement électrique ou électronique lié à une chaîne de régulation pour maintenir la température ambiante à une valeur fixe appelée consigne ; il peut être équipé de fonctions de programmation mode occupation ou confort, mode inoccupation, mode hors-gel et mode arrêt.

Propriété d’une peinture ou d’un produit gélifié de revenir liquide par simple agitation mécanique ou par vibration.

U

Coefficient de transmission surfacique en W/m²/K correspondant au flux thermique en régime stationnaire par unité de surface, pour une différence de température d’un Kelvin entre les milieux situés de part et d’autre d’un élément.

Union Nationale des Organismes HLM Organismes professionnels.

Union Nationale des Industries Carrières et Matériaux de Constructions Organismes professionnels.

Union Nationale des Syndicats Français d’Architecture Organismes professionnels.

Union Nationale des Économistes de la Construction et des Coordonnateurs Organismes professionnels.

Coefficient de déperditions thermiques surfaciques par les parois vitrées (vitrage + menuiserie) en W/m².K

V

Système d’étanchéité de façade consistant à fixer mécaniquement, en face externe d’un mur, des éléments manufacturés sans ossature ni lame d’air ventilée.

Système d’isolation par l’extérieur, à base de composants, associant un parement et un isolant.

Espace de quelques dizaines de centimètres de hauteur situé entre le terrain et le premier plancher du bâtiment, qui lorsqu’il est correctement aéré évite la formation et les remontées d’humidité.

Vitrage à Isolation Thermique Renforcée, dit aussi vitrage à très basse émissivité.

Ventilation Mécanique Contrôlée.

Système de ventilation mécanique par extraction assujetti au taux d’humidité de l’air ambiant intérieur.

Système de ventilation ou l’entrée d’air et la sortie d’air sont mécanisés ; le système peut être muni d’un échangeur thermique permettant de récupérer pour l’air neuf entrant la majorité des calories contenues dans l’air vicié sortant.

W

X

Y

Z